Jésus-Christ De Nazareth.

La typologie du Père, du Fils, du Saint-Esprit, et de l'Eglise dans la Bible . Tel est l’énoncé du thème à traiter dans la présente publication. Pour bien le cerner, il est important de définir les termes qui le composent.  Et bien, le premier terme qui reste de loin sa ligne directrice, reste celui de typologie. Ce terme vient du mot grec «  typos » qui veut dire exemple, modèle ou encore marque et c‘est Donald Arthur Carson, théologien canadien qui donne l’une des meilleures définition de la typologie :

« Dieu dispose de plusieurs moyens pour parler de l’avenir. Sa manière la plus simple consiste à en parler de façon directe par des mots. Dans plusieurs endroits de la Bible, Dieu aborde la question du futur. Il en parle de façon ouverte. Mais il se sert également d’images, de schémas, de types, et de modèles. Il établit une institution, un rite ou encore un modèle de relations. Bref, Dieu parle de l’avenir au moyen d’illustrations »

Le mot « typos » signifie aussi en grec : illustration et préfiguration. Il est donc à l’origine de la discipline de la  typologie biblique. Pour être plus précis, il faut signaler que les types ou modèles ou encore exemples, viennent d’abord de l’Ancien Testament et ensuite leurs accomplissements se font dans les réalités de la Nouvelle Alliance, en rapport avec la Vie de notre Seigneur Jésus Christ.

Dans les Écritures Saintes, on constate justement que certaines instituions, certains évènements et personnages de l’Ancien Testament jouent une fonction typique comme une ombre annonciatrice de quelqu’un, ou d’un événement, c’est à dire qu’ils préfigurent Jésus Christ et ce qu’il a apporté à l’humanité toute entière (Colossiens 2 : 16-17) [1] . Comme cette ombre, les types de l’Ancien Testament annoncent les réalités plus grandes et des événements plus précis, dans le Nouveau Testament, qui caractérisent Jésus Christ.

Récurrence des faits et personnages,  correspondance ou analogie entre eux, dans la trame de l’Histoire biblique, voici en quoi consiste la typologie. On va dire que les derniers événements ou personnages surclassent ou encore éclipsent les premiers qui constituent leurs fondations dans l’Ancien Testament. En un mot, les ombres font place à la réalité de la vie de Jésus Christ notre Seigneur sous la conduite de Dieu, son Père Tout-Puissant.

Dans l'Ancien Testament, Dieu est désigné  onze fois  comme Père. Il y est le Père d’Israël dans le contexte du pardon et de la rédemption de ce pays  qu’il a choisi. Mais les Juifs de l’époque de Jésus, hésitaient à appeler Dieu leur Père. Jésus, quant à lui, a revendiqué Dieu comme son Père et a enseigné à ses disciples à faire de même ( Matthieu 23 : 9) [2] .

Il nous a d’ailleurs laissé une prière universelle : le « Notre Père ». Pour rappel  le célèbre texte se trouve, avec quelques modifications, dans les évangiles selon Matthieu (6 : 9-13) et selon Luc (11: 2-4). 

D’après les Évangiles, Dieu est donc le Père et il est aussi le Fils, que le Père a envoyé pour réaliser son plan de rédemption. Et comme le dit Gérard Bray : «  Ce qui distingue le Fils du Père n’est pas la qualité de son être, qui est tout aussi divine que celle du Père, mais le fonctionnement de leur relation, selon laquelle, le Fils est venu dans le monde pour faire la volonté du Père. Nous sommes donc en relation avec Dieu en tant que Père par Jésus le Fils, en participant à sa filiation par l’adoption que nous recevons grâce à l’œuvre rédemptrice du Christ pour nous [3]  ».

Il faut noter que Dieu est désigné  170 fois  comme Père dans le Nouveau Testament où Jésus Christ appelle toujours Dieu son Père. Entre le Père et le Fils, il y a le Saint Esprit qui est justement la troisième personne de la Trinité. Plusieurs exégètes appellent le Saint -Esprit par divers noms : Don, Seigneur, Esprit de Dieu, Esprit de Vérité, Paraclet. C’ est une personne divine qui scelle l’union entre le Père et le Fils.

Le Saint -Esprit intercède aussi pour les Chrétiens auprès du Père à travers le Fils (Romain 8 : 26-27) [4] . Le Saint -Esprit est l'Esprit de Vérité parce qu'il nous enseigne tout ce que Jésus Christ nous a révélé, parce qu'Il guide aussi et maintient l'Église dans la vérité. L’Église étant vue ici comme la famille de Dieu, voire la Communauté de la Nouvelle Alliance, le corps dont Jésus Christ est la tête ( Romains 12:4-5) [5] .

L’Église est également son épouse. Elle est constituée des personnes de tous les pays du monde, de toutes les cultures, de toutes les ethnies, à travers tous les âges, en un mot, de tous ceux qui le reconnaissent comme leur Seigneur.

Après la définition des termes qui composent le thème de notre publication, à savoir le Père, le Fils, le Saint-Esprit et l'Eglise, il convient logiquement maintenant de trouver les liens qui existent entre  eux à travers la typologie.

Typologiques du Père et du Fils à travers Isaac et Jésus et leurs Pères.

Rappelons que la typologie biblique consiste à reconnaître que dans les Écritures Saintes, notamment dans l’Ancien Testament certains évènements, certains personnages ou certaines institutions préfigurent d’autres qui se réalisent dans le Nouveau Testament. Les seconds accomplissent donc les premiers ou les amènent de façon irréversible à la  perfection. On peut affirmer que Jésus Christ lui-même a donné la première indication de la typologie biblique (Luc 24 : 25-27) [6] et (Luc 24 : 44-47) [7] .   Pour être plus concret, l’exemple de l’une des typologies dans la Bible concerne justement  le Père, le Fils, le Saint-Esprit et l'Eglise à travers l’histoire du Patriarche Abraham [8] , un type de Dieu et de son Fils Isaac qu’on considère comme « une sorte » de Jésus Christ. Dieu, le Père Tout-Puissant a demandé à Abraham de sacrifier son Fils (Genèse 22 : 1-2) [9] , le Fils de la Promesse, Fils unique de Sarah. La parole qu’il a adressée à Abraham est celle-ci : « Prends ton fils » nous rappelle que Dieu  n'a pas épargné son propre Fils, notre Seigneur Jésus Christ (Rom. 8 : 32) [10] . 

Premier constat  :

Isaac et Jésus sont tous les deux « Fils uniques », nés par la puissance et la volonté de Dieu (Genèse 22:1-3) [11] et (Jean 3:16) [12] . Cet événement du Fils d’Abraham préfigure le sacrifice de Jésus Fils unique. On peut donc dire que cette demande de Dieu à Abraham, préfigure donc le sacrifice extrême que Dieu lui-même s’est infligé en envoyant son Fils unique à la mort sur la croix.

Ce qui est remarquable ici, c’est qu’Abraham se montre obéissant pour accomplir la volonté de Dieu de sacrifier son Fils. Il prend la route vers le Mont Morija, le lieu de l’holocauste.  La marche va durer trois jours pendant lesquels, Abraham va considérer son Fils comme mort. L’enseignement qu’on tire de ce récit comporte des analogies avec celui de Jésus qui, obéissant à son Père (Hébreu 5 : 8) [13] et  (Philippiens 2 : 8) [14] , a porté sa propre croix vers Golgotha. Isaac lui aussi, obéissant à Abraham (Genèse 22 : 7-8) [15] , portant le bois qui allait être allumé pour l’holocauste, a marché pendant trois jours avec lui, vers le mont Morija qui se trouve près de Jérusalem.

Deuxième constat  :

Ces faits ci-dessus sont les éléments qui constituent cette partie de notre analyse comparative. En effet, les deux Fils ont porté du bois sur leur dos alors qu'ils marchaient courageusement vers la mort (Genèse 22 : 6) [16] et (Jean 19 : 17-18) [17] .

Troisième constat  :

Isaac et Jésus obéirent à leurs Pères dans la confiance et avec une sérénité déconcertante (Genèse 22 : 7-8) [18] et (Matthieu 26 : 39) [19] . A propos de ce dernier verset, il est important de rappeler que dans le jardin de Gethsémani, Jésus pria son Père : «  Il lui demanda de trouver un autre moyen pour accomplir sa mission de sauver le monde, sans qu’il doive souffrir ni mourir. Mais après avoir fait cette demande, Jésus dit à son Père qu’il se soumettra à sa seule volonté ».

Quatrième constat  :

On peut dire que sur le chemin de l’Autel (Morija et Golgotha), Dieu le Père de Jésus et Abraham le Père d’Isaac, avaient à l’esprit, la résurrection leurs Fils respectifs (Hébreux 11 : 17-19) [20] .  La marche d’Abraham et d’Isaac vers Morija, a duré trois jours. On peut dire que pendant ces trois jours, Abraham « dans sa tête », a considéré son Fils comme mort. Mais en même temps, il était certain que Dieu allait faire un miracle pour que son Fils « ressuscite » (Genèse 22 : 5) [21]

Il n’est pas superflu de rappeler que Jésus obéissant comme Isaac, marchait avec son Père à coté de lui, allant sur le lieu du « sacrifice » (Jean 19 :17-18) . Il  est mort sur la croix et ressuscité des morts le troisième jour. Isaac lui-aussi, peut-être considéré comme ressuscité à partir du moment où Dieu a remplacé « l’Agneau » à la dernière minute par un bélier qui est devenu un sacrifice de substitution. Jésus Christ l’a été également été  parce qu’il a remplacé le peuple de Dieu sur la croix .

Cinquième constat  :

Dieu a pourvu au substitut du sacrifice dans les deux cas, celui d’Isaac et de Jésus (Genèse 22 : 13-14) [22]  et (1 Pierre 2 : 24-25) [23] . Isaac a été prévu pour être « l’Agneau » du sacrifice  (Genèse 22 : 7- 8). De même Jésus est appelé l’Agneau de Dieu (Jean 1, 29-34) [24] . Abraham a lié Isaac pour le placer sur l’autel, à ce niveau on parle de Ligature. Dieu a finalement remplacé Isaac par un Bélier. A la fin de cet événement, on peut conclure que Dieu a mis à l’épreuve Abraham pour tester sa foi et il a sacrifié son Fils pour sauver l’humanité.

Dans le fond, la différence entre les deux actes sacrificiels est énorme. Contrairement à Isaac, Jésus Christ le Fils de Dieu a été effectivement sacrifié sur la croix.  Mais là encore, un autre principe de l’Evangile apparaît. C’est celui de la substitution. Rappelons que Dieu permet finalement à Abraham de sacrifier un bélier à la place de son fils or ce principe de la substitution est aussi au cœur du sacrifice de Jésus qui communique avec son « Peuple » par le Saint-Esprit.

  Typologiques du Saint-Esprit et de l’Église à travers le mariage d’Isaac.

Nous l’avons vu plus haut, Abraham est considéré comme un type de Dieu et Isaac comme un type de Jésus Christ.  Dans le même sens, Éliézer (Dieu est secours), le serviteur d’Abraham est un type du Saint-Esprit dans l’Ancien Testament. En effet, après la mort et l’enterrement de sa femme Sara, Abraham envoie Éliézer, Chef de ses serviteurs qu’il considérait comme son héritier présomptif avant la naissance d'Isaac (Genèse 15 : 2-4) ,  en Mésopotamie (à environ 750 km de Canaan), dans sa patrie natale, pour trouver, dans  son Alliance avec Dieu, une épouse pour Isaac (Genèse 24 : 1-4) [25] .

Pour cette mission, Éliézer qui bénéficiait de la confiance totale d’Abraham, avait tout le nécessaire pour effectuer sa longue mission dans de bonnes conditions (Genèse 24:10) [26] .  Evidemment, Éliézer, serviteur d’Abraham en Alliance avec Dieu, avait confié son long voyage à celui-ci, sous « la gouvernance » du Saint-Esprit qui devait opérer le choix de la femme d’Isaac. 

Dans cet optique, il avait demandé à Dieu de lui montrer à travers des signes et faits, l’attitude de la future épouse du Fils d’Abraham (Genèse 24.17-21) [27] . Et là, c’est le Saint-Esprit qui a agit à travers Éliézer. Dieu a exaucé sa prière car il voulait honorer Abraham et Sara en choisissant la voie divine pour accomplir efficacement sa mission. Le chef des serviteurs d’Abraham a fait corps avec le Saint-Esprit, en privilégiant justement l’intérêt de ses maîtres.

En plus, dans ses négociations avec les parents de Rebecca, la future épouse d’Isaac, Éliézer, a mis justement en valeur le choix de Rebecca par Dieu. Ce choix divin est en harmonie avec l’Alliance d’Abraham et Dieu. Le mariage d’Isaac et de Rebecca rentre dans le cadre de cette l’Alliance abrahamique (Genèse 17 : 4) [28] . Comme on peut le constater, dans le récit du choix de Rebecca, la compagne d’Isaac et de leur mariage, c’est un mariage béni et éternel.

Dans l’Ancien Testament, Éliézer est reconnu comme un type de Saint-Esprit. Rappelons que le Saint -Esprit est l'Esprit de Vérité et la preuve de la foi en Jésus Christ. Il nous enseigne tout ce qu’il nous a révélé dans le Nouveau Testament. Et comme le dit le pasteur Aaron Kayayan [29]   : « La promesse messianique relative à l’Esprit et à son effusion s’est réalisée en Christ. Oint de Dieu par excellence, l’Esprit divin s’est pleinement manifesté en lui. Il l’habite totalement et opère à travers lui. Grâce à l’Esprit, le Christ peut poursuivre et achever sa mission terrestre. La conception du Fils de Dieu, sa naissance miraculeuse et l’ensemble de son ministère attestent la présence et l’opération puissante du Saint- Esprit. Lors du baptême, l’Esprit descend sur lui sous la forme d’une colombe. Plus tard, il s’offre à la mort, mais l’Esprit le ressuscite ».

En plus de la colombe, il existe huit autres symboles qui caractérisent le Saint-Esprit, ce sont : L’eau, l’onction, le feu, la nuée et la Lumière, le sceau, la main, le doigt, la colombe. Derrière ces symboles du Saint-Esprit, il y a des dons que Dieu confère aux croyants. Ils sont au nombre de sept. Ce sont : La sagesse, l’intelligence, le conseil, la force, la science, la piété et la crainte de Dieu.

Tous ces dons appartiennent en leur plénitude au Christ, Fils de Dieu. Ils rendent les fidèles dociles à obéir avec promptitude aux inspirations divines. «  Enseigne-moi à faire ta volonté ! Car tu es mon Dieu. Que ton bon esprit me conduise sur la voie droite, ( Psaumes 143 : 10) ». «  Tout ceux qu'anime l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Enfants et donc héritiers ; héritiers de Dieu et cohéritiers du Christ (Romain 8 : 14) ».

Le Saint-Esprit agissait à travers quelques personnages de l’Ancien Testament dont Éliézer, le chef des serviteurs d’Abraham, mais de façon ponctuelle. Tout le monde n’avait pas le Saint-Esprit en lui. « Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, (le Saint-Esprit) afin qu’il demeure éternellement avec vous » (Jean 14:16). Pour nous aujourd’hui, c’est différent, si nous sommes avec Jésus Christ, le Saint-Esprit habite en nous et pour nous fortifier et il ne nous quittera jamais selon les paroles de  notre Seigneur. En effet, le Saint-Esprit nous conserve la vie éternelle et nous enseigne tout ce que Jésus Christ nous a révélé, il guide aussi et maintient l'Église dans la vérité.

L’Église étant vue ici comme la famille de Dieu, voire la Communauté de la Nouvelle Alliance, le corps dont Jésus Christ est la tête ( Romains 12:4-5). Cette Église est l’épouse du Christ. L’apôtre Paul dit : « Car je suis jaloux de vous d’une jalousie de Dieu, parce que je vous ai fiancés à un seul époux, pour vous présenter à Christ comme une vierge pure. » . Pour revenir à la typologie de l’Église, Rebecca, la compagne d’Isaac est considérée comme l’Église dans l’Ancien Testament. Maintenant, la question qui se pose est de savoir pourquoi cette analogie est faite entre Rebecca et l’Église qui représente le corps du Jésus.

En effet, Rébecca a accepté d’épouser Isaac sans le connaître, sans l’avoir vu une seule fois, (Genèse 24 : 57-58) [30] .
 Son acceptation a été motivée par la sincérité et la foi en Dieu d’Éliézer. Elle a  accepté de partir avec lui, très loin de sa famille, sur la base des promesses de l’envoyé d’Abraham. Elle a placé toute sa confiance en Éliézer qui lui-même symbolise le Saint-Esprit. L’analogie avec l’Église, l’épouse de Jésus Christ, est que pour l’accepter, il faut donner son accord sans l’avoir vu et sur la promesse de recevoir le Salut.

Les seules preuves et assurances dont disposent les « Fiancé/es » dans ce mariage avec Jésus Christ, est la Bible dont le contenu est inspiré du Saint-Esprit. Ici le Saint-Esprit symbolisé par Éliézer, a été envoyé par le Père d’Isaac pour chercher l’Église, « l’Épouse, Rebecca, la femme de « l’Agneau » que représente Isaac. Ce n’est pas lui-même qui va chercher une épouse, comme Christ non plus ne revient pas sur la terre pour se choisir une Église.

Conclusion

Les résultats de notre recherche documentaire sur la typologie du Père, du Fils et du Saint-Esprit et de l’Église, nous permettent de bien comprendre la trame des récits bibliques dans l’Ancien et le Nouveau Testament. Dans le même temps la typologie nous autorise à dire qu’il y a des convergences remarquables et parfaites entre des faits majeurs et certains personnages clés de l’Ancien et du Nouveau Testament. « Les livres de l’Ancien Testament, intégralement repris dans le message évangélique, reçoivent et montrent leur complète signification dans le Nouveau Testament » [31] .

En Abraham, nous trouvons un de type de Dieu. Il a une confiance totale et une foi inébranlable au Tout-Puissant. Abraham est ainsi le premier homme à croire à la promesse de Dieu et aussi, le premier à faire une Alliance avec lui. Il est le premier prophète (Genèse 20 :7) [32] , le premier à construire des autels et à préparer l’Alliance par le sacrifice d’animaux, le premier à pratiquer la circoncision (Genèse 17 : 10) [33] . Il est le modèle d’obéissance par excellence : Dieu lui demande de sacrifier son propre Fils, il le fait. L’ayant donc offert en sacrifice et l’ayant reçu de nouveau, ces faits montrent clairement le « type de la résurrection de Jésus Christ », qui devient, comme Isaac, héritier de tous les biens de son Père qui a, lui trouvé une épouse à travers Éliézer, le type du Saint-Esprit.

Le serviteur en chef d’Abraham est revenu à Canaan avec Rebecca, le type de l’Église qu’Isaac a acceptée et aimée en la présentant à sa mère (Genèse 22 : 66-67) [34] . Elle est appelée à être l’épouse d’Isaac ressuscité après trois jours, comme Jésus l’a été. Sous le sceau de Dieu et du Saint-Esprit, les deux « Agneaux » à savoir Isaac et notre Seigneur Jésus Christ ont fait des mariages éternels avec le type (Rebecca) et l’ antitype [35] (l’Église).

Agence GLOUZILET

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Dr. Ben ZAHOUI DÉGBOU,
Masterant en Théologie, (Extrait de mon mémoire en Licence).
BIBLEDOC, Institut de Théologie,
P.O. BOX 118 STAFFORD, VA – USA


Géographe-Journaliste, Spécialiste de Géopolitique et
Docteur Commerce International.